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    Pour 6 personnes

     

     500 g de cerises noires au kirsch

     

     20 cl de lait

     

    1 grosse cuillère d’amande en poudre

     

    70 g de beurre salé

     

     120 g de farine

     

    75 de maïzena

     

     75 g de sucre

     

     3 œufs +2

     

     30 cl de crème liquide

     

    1 sachet de levures chimiques

     

    1 sachet de sucre vanillier

     

    Préparation :

     

     

     

    Préchauffer le four à 180°C (th.6).

     

    Faire fondre 50 g de beurre à la micro-onde. Dans un saladier, mélanger la farine, la maïzena, le sucre, les œufs, et la crème liquide, la cuillère d’amande en poudre, le sucre vanillier et la levure.

     

    Ajouter progressivement le lait en remuant sans cesse et le beurre fondu, ajoutez les blancs des deux œufs battus en neige et le mélangé délicatement  à la pâte.

     

     Beurrer un moule à manqué et fariné, déposez la pâte dans le moule et mettre les cerises au kirsch sur la pâte enfourner 30 à 35 minutes (le temps de cuisson peut varier de quelques minutes selon les fours).

     

     Vérifier la cuisson en enfonçant un pique en bois il doit ressortir propre

     

     

     

     

     

     


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    La petite fille aux allumettes tu es ici : Site pour enfants>Lecture>CONTES DE NOËL>la petite fille aux allumettes

     

     

     

    Il faisait terriblement froid ; il neigeait depuis le matin ; il faisait déjà sombre ; le soir approchait, le soir du dernier jour de l'année. Au milieu des rafales, par ce froid glacial, une pauvre petite fille marchait dans la rue : elle n'avait rien sur la tête, elle était pieds nus.

     

     

     

    Lorsqu'elle était sortie de chez elle le matin, elle avait eu de vieilles chaussures beaucoup trop grandes pour elle. Aussi les perdit-elle lorsqu'elle eut à se sauver devant une file de voitures ; les voitures passées, elle chercha après ses chaussures ; un méchant gamin s'enfuyait emportant en riant l'une d'elles ; l'autre avait été entièrement écrasée.

     

     

     

    Ainsi la malheureuse enfant n'avait plus rien pour abriter ses pauvres petits pieds. Dans son vieux tablier, elle portait des allumettes : elle en tenait à la main un paquet. Mais, ce jour, la veille du Nouvel An, tout le monde étaient affairés ; par cet affreux temps, personne ne s'arrêtait pour considérer l'air suppliant de la petite qui faisait pitié. La journée finissait, et elle n'avait pas encore vendu un seul paquet d'allumettes. Tremblante de froid et de faim, elle se traînait de rue en rue.

     

     

     

    Des flocons de neige couvraient sa longue chevelure blonde. De toutes les fenêtres brillaient des lumières : de presque toutes les maisons sortaient une délicieuse odeur, celle de l'oie, qu'on rôtissait pour le festin du soir : c'était le Nouvel An. Cela, oui, cela lui faisait arrêter ses pas errants.

     

     

     

    Enfin, après avoir une dernière fois offert en vain son paquet d'allumettes, l'enfant aperçoit un recoin entre deux maisons, dont l'une dépassait un peu l'autre. Harassée, elle s'y assied et s'y blottit, tirant à elle ses petits pieds : mais elle grelotte et frissonne encore plus qu'avant et cependant elle n'ose rentrer chez elle. Elle n'y rapporterait pas la plus petite monnaie, et son père la battrait.

     

     

     

    L'enfant avait ses petites mains toutes transies. "Si je prenais une allumette, se dit-elle, une seule pour réchauffer mes doigts ?" C'est ce qu'elle fit.

     

     

     

    Quelle flamme merveilleuse c'était ! Il sembla tout à coup à la petite fille qu'elle se trouvait devant un grand poêle en fonte, décoré d'ornements en cuivre. La petite allait étendre ses pieds pour les réchauffer, lorsque la petite flamme s'éteignit brusquement : le poêle disparut, et l'enfant restait là, tenant en main un petit morceau de bois à moitié brûlé.

     

     

     

    Elle frotta une seconde allumette : la lueur se projetait sur la muraille qui devint transparente. Derrière, la table était mise : elle était couverte d'une belle nappe blanche, sur laquelle brillait une superbe vaisselle de porcelaine. Au milieu s'étalait une magnifique oie rôtie, entourée de compote de pommes : et voilà que la bête se met en mouvement et, avec un couteau et une fourchette fixée dans sa poitrine, vient se présenter devant la pauvre petite. Et puis plus rien: la flamme s'éteint.

     

     

     

    L'enfant prend une troisième allumette, et elle se voit transportée près d'un arbre de Noël, splendide. Sur ses branches vertes brillaient mille bougies de couleurs: de tous côtés pendait une foule de merveilles. La petite étendit la main pour saisir la moins belle : l'allumette s'éteint. L'arbre semble monter vers le ciel et ses bougies deviennent des étoiles: il y en a une qui se détache et qui redescend vers la terre, laissant une traînée de feu.

     

     

     

    "Voilà quelqu'un qui va mourir" se dit la petite. Sa vieille grand-mère, le seul être qui l'avait aimée et chérie, et qui était morte il n'y avait pas longtemps, lui avait dit que lorsqu'on voit une étoile qui file, d'un autre côté une âme monte vers le paradis. Elle frotta encore une allumette: une grande clarté se répandit et, devant l'enfant, se tenait la vieille grand-mère.

     

     

     

    - Grand-mère, s'écria la petite, grand-mère, emmène-moi. Oh ! Tu vas me quitter quand l'allumette sera éteinte : tu t'évanouiras comme le poêle si chaud, le superbe rôti d'oie, le splendide arbre de Noël. Reste, je te prie, ou emporte-moi.

     

     

     

    Et l'enfant alluma une nouvelle allumette, et puis une autre, et enfin tout le paquet, pour voir la bonne grand-mère le plus longtemps possible. La grand-mère prit la petite dans ses bras et elle la porta bien haut, en un lieu où il n'y avait plus ni de froid, ni de faim, ni de chagrin : c'était devant le trône de Dieu.

     

     

     

    Le lendemain matin, cependant, les passants trouvèrent dans l'encoignure le corps de la petite ; ses joues étaient rouges, elle semblait sourire ; elle était morte de froid, pendant la nuit qui avait apporté à tant d'autres des joies et des plaisirs. Elle tenait dans sa petite main, toute raidie, les restes brûlés d'un paquet d'allumettes.

     

     

     

    - Quelle idiote ! dit un sans-cœur. Comment a-t-elle pu croire que cela la réchaufferait ? D'autres versèrent des larmes sur l'enfant ; c'est qu'ils ne savaient pas toutes les belles choses qu'elle avait vues pendant la nuit du Nouvel An, c'est qu'ils ignoraient que, si elle avait bien souffert, elle goûtait maintenant dans les bras de sa grand-mère le plus doux des bonheurs.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Conte d'Andersen

     

    La petite fille aux allumettes

      

     

    Il faut pas les oublier le froid arrive un geste pour eux un sourire une petite pièce, on ne laisserait pas un chien dehors alors pourquoi les gens dans la souffrance faite le donner il y à temps de misère.

     

    NE PAS OUBLIER LES OUBLIER DE LA VIE

     MERCI POUR EUX

     

     

     

     


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    250 g de nouilles chinoises aux œufs

     

    8 grosses crevettes ou gambas crues

     

    1 oignon

     

    1 carotte

     

    2 poivrons rouges

     

    1 petit piment vert

     

    2 gousses d'ail

     

    3 brins de coriandre

     

    4 c. à soupe de sauce soja

     

    2 c. à soupe d'huile d'olive

     

    Préparation

     

    Plonger les nouilles 3 minutes dans une grande quantité d'eau bouillante, rincer à l'eau froide et égoutter.

     

    Décortiquer les crevettes. Couper l'oignon en fines lamelles. Peler et tailler la carotte en fins bâtonnets (ou la râper à l'aide d'une râpe à gros trous). Couper les poivrons en fines lamelles.

     

    Peler et hacher l'ail. Épépiner le piment et le hacher.

     

     

     

    Dans un wok ou une grande poêle, faire chauffer 2 c. à soupe d'huile, y faire dorer l'oignon pendant 2 minutes, ajouter les carottes, et les poivrons, puis remuer pendant 3 minutes. Repousser le tout sur le bord du wok.

     

    Verser le reste d'huile dans le wok, y faire dorer l'ail et le piment, puis les crevettes 3 minutes en remuant. Assaisonner avec la sauce de soja.

     

    Ajouter les nouilles, remuer quelques secondes.

     

     

     

     

     


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    pintade au chou

     

    1 pintade

     

    1 chou vert

     

    4 tranches de lard fumé

     

    2 cubes de bouillon de volaille

     

    75 cl d’eau

     

    Fleurs de thym

     

    Feuille de laurier

     

    3 échalotes ciselées

     

    Saindoux

     

    Se, poivre

    pintade au chou

    Préparation :  

     

    1 Coupez votre chou en morceaux, un beau poêlon faire fondre le saindoux faire revenir vos tranches de lards.

     

    2/Ajoutez votre chou les cubes de volaille et l’eau couvrir et laissé cuire pendant 30 minutes à feu doux.

     

    3/Coupez votre pintade en morceau les faires revenir dans un poêlon, laissez bien doré ajouté les échalotes, sel, poivre et fleur de thym, couvrir laissé mijoté à feu doux pendant 30minutes.

     

    4/Prendre votre chou avec une écumoire le déposé dans un grand plat allant au four, ajoutez votre pintade dessus avec la sauce, couvrir de feuille d’alu et mettre au four th7 (210°C)  pendant 30minutes, servir bien chaud.

     pintade au chou

     


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    Cuisson 20 à 25minutes minutes th 6 (180°C°)

     

     

     

    Ingrédients :

     

     

     

    4 œufs * 125g de sucre * 60g de farine  (3 grosse cuillère à soupe)  * 1 cuillère  à soupe de maïzena *  des zeste de citron

    Faire blanchir les jaunes d’œufs et le sucre dans un saladier.

     

    Ajoutez la farine et la maïzena, et fouetter vivement 3min.

     

     

     

    Monter les blancs en neige bien ferme, ajouter un peu de blancs en neige et les zeste de citron dans le mélange jaune d’œufs et sucre pour la rendre légèrement liquide.

     

     

     

    Ajouter ensuite le reste des blancs en neige et en mélangeant délicatement avec une spatule en bois.

     

     

     

    Verser la préparation dans un moule côtelé, beurré et fariné (moi j’ai utilisé un moule en silicone).

     

     

     

     Faire cuire dans votre four préchauffé, sortir le biscuit du four et le démouler quelques minutes après sur une grille.

     

    Laisser refroidir avant de servir.

     

     

     

     

     


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    1 rouleau de pâte sablée

     

    300 g de yaourt à la grecque

     

    5 cl de jus d’orange (j’ai pressé une orange bien juteuse)

     

    1 sachet de sucre vanillé

     

    30gr de zeste d’orange

     

    3 œufs

     

    50 g de sucre

     

     

    Préparation :

     

    1 / déroulée votre pâte sur son papier tapissez le moule, couvrez d’une seconde feuille de papier cuisson, puis une bonne couche de ’légumes  secs, faites- les remonter contre les bords.

     

    2 /Préchauffez le four à 200 °C (th6) enfournez 10 minutes  ôter légumes et papier, réenfournez 3min. laissez tiédir.

     

    3 /  battez œufs, yaourt, citron, sucre, sucre vanillé, semez sur la croûte tiède la crème dessus, enfournez 20/25min.

     

    4 / laissez tiédir, soulevez le papier à 4 mains pour démouler, posez sur un plat, prenez les zestes d’orange en filaments au couteau zesteur.

     

    5  / Cuisez à feu doux avec 1 cuil.à soupe de sucre et 2 cuil. À soupe d’eau, jusqu’à ce que le sirop blondisse, semez sur la tarte en aérant bien les zestes.

     

     


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