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    Faites votre lessive vous-mêmes

     

     

    Assez des lessives industrielles misez sur l’écologie

     

    Faites votre propre produit lessive

     

    Vertus des produits naturels  efficaces et écologiques et idéal pour les allergiques

     

    Retroussez vos manches

     

     Mélangez dans 4 litres d’eau

     

    200g de savon de Marseille à l’huile d’olive en paillette

     

    10cl de vinaigre blanc

     

    3 cuillères à soupe de bicarbonate de soude

     

    Ajoutez si vous le désirez quelques gouttes d’huile essentielle de votre choix pour parfumer votre mixture

     

    Le bicarbonate de soude adoucit le linge et absorbe les mauvaises odeurs

     

     Quant au vinaigre blanc, c’est un bon détachant qui fixe les couleurs

     

    Conservez votre lessive dans un bidon hermétique, secouez-le avant utilisation, le savon à tendance à resté coller au fond

     

    Efficacité accrue

     

     

     

    Vous pouvez ajouter à votre lessive 2 cuillères à soupe de cristaux de soude, préalablement dilués dans un peu d’eau chaude

     

    Il adoucit l’eau de bons agents nettoyants

     

     

     

     

     

    Tissus fragiles

     

    Faites attention : le bicarbonate de soude ne va pas de pair avec certains tissus fragiles, comme la laine et la soie, opter plutôt pour une lessive au savon de Marseille, qui n’abîmera pas les fibres

     

     

     

    Efficacité accrue

     

     

     

    Vous pouvez ajouter à votre lessive 2 cuillères à soupe de cristaux de soude, préalablement dilués dans un peu d’eau chaude

     

    Il adoucit l’eau de bons agents nettoyants

     

    Faites votre lessive vous-mêmes 

     

     

     

     

     


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    La petite fille aux allumettes tu es ici : Site pour enfants>Lecture>CONTES DE NOËL>la petite fille aux allumettes

     

     

     

    Il faisait terriblement froid ; il neigeait depuis le matin ; il faisait déjà sombre ; le soir approchait, le soir du dernier jour de l'année. Au milieu des rafales, par ce froid glacial, une pauvre petite fille marchait dans la rue : elle n'avait rien sur la tête, elle était pieds nus.

     

     

     

    Lorsqu'elle était sortie de chez elle le matin, elle avait eu de vieilles chaussures beaucoup trop grandes pour elle. Aussi les perdit-elle lorsqu'elle eut à se sauver devant une file de voitures ; les voitures passées, elle chercha après ses chaussures ; un méchant gamin s'enfuyait emportant en riant l'une d'elles ; l'autre avait été entièrement écrasée.

     

     

     

    Ainsi la malheureuse enfant n'avait plus rien pour abriter ses pauvres petits pieds. Dans son vieux tablier, elle portait des allumettes : elle en tenait à la main un paquet. Mais, ce jour, la veille du Nouvel An, tout le monde étaient affairés ; par cet affreux temps, personne ne s'arrêtait pour considérer l'air suppliant de la petite qui faisait pitié. La journée finissait, et elle n'avait pas encore vendu un seul paquet d'allumettes. Tremblante de froid et de faim, elle se traînait de rue en rue.

     

     

     

    Des flocons de neige couvraient sa longue chevelure blonde. De toutes les fenêtres brillaient des lumières : de presque toutes les maisons sortaient une délicieuse odeur, celle de l'oie, qu'on rôtissait pour le festin du soir : c'était le Nouvel An. Cela, oui, cela lui faisait arrêter ses pas errants.

     

     

     

    Enfin, après avoir une dernière fois offert en vain son paquet d'allumettes, l'enfant aperçoit un recoin entre deux maisons, dont l'une dépassait un peu l'autre. Harassée, elle s'y assied et s'y blottit, tirant à elle ses petits pieds : mais elle grelotte et frissonne encore plus qu'avant et cependant elle n'ose rentrer chez elle. Elle n'y rapporterait pas la plus petite monnaie, et son père la battrait.

     

     

     

    L'enfant avait ses petites mains toutes transies. "Si je prenais une allumette, se dit-elle, une seule pour réchauffer mes doigts ?" C'est ce qu'elle fit.

     

     

     

    Quelle flamme merveilleuse c'était ! Il sembla tout à coup à la petite fille qu'elle se trouvait devant un grand poêle en fonte, décoré d'ornements en cuivre. La petite allait étendre ses pieds pour les réchauffer, lorsque la petite flamme s'éteignit brusquement : le poêle disparut, et l'enfant restait là, tenant en main un petit morceau de bois à moitié brûlé.

     

     

     

    Elle frotta une seconde allumette : la lueur se projetait sur la muraille qui devint transparente. Derrière, la table était mise : elle était couverte d'une belle nappe blanche, sur laquelle brillait une superbe vaisselle de porcelaine. Au milieu s'étalait une magnifique oie rôtie, entourée de compote de pommes : et voilà que la bête se met en mouvement et, avec un couteau et une fourchette fixée dans sa poitrine, vient se présenter devant la pauvre petite. Et puis plus rien: la flamme s'éteint.

     

     

     

    L'enfant prend une troisième allumette, et elle se voit transportée près d'un arbre de Noël, splendide. Sur ses branches vertes brillaient mille bougies de couleurs: de tous côtés pendait une foule de merveilles. La petite étendit la main pour saisir la moins belle : l'allumette s'éteint. L'arbre semble monter vers le ciel et ses bougies deviennent des étoiles: il y en a une qui se détache et qui redescend vers la terre, laissant une traînée de feu.

     

     

     

    "Voilà quelqu'un qui va mourir" se dit la petite. Sa vieille grand-mère, le seul être qui l'avait aimée et chérie, et qui était morte il n'y avait pas longtemps, lui avait dit que lorsqu'on voit une étoile qui file, d'un autre côté une âme monte vers le paradis. Elle frotta encore une allumette: une grande clarté se répandit et, devant l'enfant, se tenait la vieille grand-mère.

     

     

     

    - Grand-mère, s'écria la petite, grand-mère, emmène-moi. Oh ! Tu vas me quitter quand l'allumette sera éteinte : tu t'évanouiras comme le poêle si chaud, le superbe rôti d'oie, le splendide arbre de Noël. Reste, je te prie, ou emporte-moi.

     

     

     

    Et l'enfant alluma une nouvelle allumette, et puis une autre, et enfin tout le paquet, pour voir la bonne grand-mère le plus longtemps possible. La grand-mère prit la petite dans ses bras et elle la porta bien haut, en un lieu où il n'y avait plus ni de froid, ni de faim, ni de chagrin : c'était devant le trône de Dieu.

     

     

     

    Le lendemain matin, cependant, les passants trouvèrent dans l'encoignure le corps de la petite ; ses joues étaient rouges, elle semblait sourire ; elle était morte de froid, pendant la nuit qui avait apporté à tant d'autres des joies et des plaisirs. Elle tenait dans sa petite main, toute raidie, les restes brûlés d'un paquet d'allumettes.

     

     

     

    - Quelle idiote ! dit un sans-cœur. Comment a-t-elle pu croire que cela la réchaufferait ? D'autres versèrent des larmes sur l'enfant ; c'est qu'ils ne savaient pas toutes les belles choses qu'elle avait vues pendant la nuit du Nouvel An, c'est qu'ils ignoraient que, si elle avait bien souffert, elle goûtait maintenant dans les bras de sa grand-mère le plus doux des bonheurs.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Conte d'Andersen

     

    La petite fille aux allumettes

      

     

    Il faut pas les oublier le froid arrive un geste pour eux un sourire une petite pièce, on ne laisserait pas un chien dehors alors pourquoi les gens dans la souffrance faite le donner il y à temps de misère.

     

    NE PAS OUBLIER LES OUBLIER DE LA VIE

     MERCI POUR EUX

     

     

     

     


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